S'il est une vérité des plus absolus en ce bas monde depuis quelques décennies désormais, c'est que tous et toutes au sein du prospère empire d'Aelyria ont les yeux rivés sur la cité ayant l'honneur d'accueillir l'académie, Vyléria. Ce pour diverses raisons à dire vrai, les uns observent ainsi les prochaines générations à l'oeuvre dans leur formation alors qu'elles s'élèvent pour s'emparer du flambeau de la vieille et poursuivre leur course effréné pour la gloire de la nation et plus encore la survie de son peuple. D'autres pour leur part se favorisent l'interaction et notamment avec les divers organismes plus ou moins indépendant et pour ainsi dire touche-à-tout qui peuplent les rues de la ville, car en effet là où vont les graines de l'avenir suivent les nutriments nécessaires à leur développement et plus encore aussi les guildes et les ordres hantent-t-ils une bonne part des lieux et tel des malandrins en embuscade sont positionnés à chaque angle de ruelles afin de trouver les perles rares qui rejoindront leurs rangs. Certains encore à défaut de s'intéresser aux individus et ce bien que beaucoup soient exceptionnel, voient plus loin ou plus précisément ils envisagent la réalité sous un autre angle et n'ont pas les mêmes considérations et aspirations que le commun des mortels car dans leur cas ce qui les intéressent c'est ce qui émane des grands esprits. Et une tel affluence de talents ne pouvait inévitablement que rejaillir sous la forme de créations remarquables que l'on ne trouve pour beaucoup que au sein de Vyléria, une certaine forme d'exclusivité assurément que les fines lames comme les esprits affutés s'arrachent en fonction de leurs nécessités.

Bien évidemment il y a aussi à prendre en compte d'autres facteurs moins important pour une fraction de gens qui n'entrent dans aucune de ces trois catégories, mais est-ce d'un intérêt flagrant ? Pas nécessairement. Quoi qu'il en soit, comme nous le disions juste avant, les grands esprits que pour des raisons de commodités et de contexte nous nommerons les "créateurs", sont pour ainsi dire monnaie courante, l'un des effets secondaires de l'existence de l'académie au même titre que la présence des organismes et institutions jouxtant celle ci. Et donc, afin de canaliser leur énergie pour ainsi dire sans limite lorsqu'il s'agit de donner vie à leurs lubies et folies les plus innovantes et performantes, ces derniers disposent d'un quartier dédié où l'activité règne de jour comme de nuit au gré des projets. Qu'ils s'agissent d'alchimistes, de forgeron, de calligraphes, d'enchanteurs ou que sait-on encore, ils peuplent par dizaine, voir par centaine tout un pan de Vyléria à un tel point que l'on en oublierait la concurrence féroce qui anime cette caste d'artisan lorsqu'il s'agit d'obtenir pignon sur rue au plus proche de l'académie car en fin de compte c'est bien cette dernière et ses chers têtes blondes qui est la plus grande cliente desdits artisans.

Mais pas exclusivement, de toute la contrée les gens fortunés n'hésitent pas de temps à autres à venir consulter les maîtres dans leurs arts locaux, voir simplement à se déplacer quelques jours afin de faire des emplettes, c'est vous dire la réputation d'excellence qui est associé aux résidents du quartier des artisans. En d'autres termes et c'est là tout le propos de ce laïus, il s'agit au même titre que l'Académie d'un lieu incontournable. D'où la présence en ce beau jour de Dame Ar Volta qui, en ville depuis peu désormais pour superviser directement des affaires relatives à ses fonctions, avait coupé court à ces dernières pour un temps. Ce d'une part car il y avait des préparatifs à réaliser pour la suite des opérations, et dans un second temps car il était judicieux pour l'elfe de connaître l'agencement de la cité au vue du temps qu'elle allait y penser afin d'accomplir ses devoirs. Ah, et accessoirement, elle se disait aussi en son fort intérieur que c'était aussi une occasion d'aller observer ce que les maîtres artisans avaient à proposer, et qui sait peut être même trouver un présent digne de ce nom à envoyer à son cher mari ainsi que des idées de "Tributs" à employer lors de ses pérégrinations diplomatiques.

Flanquée d'une légère escortes d'un quatuor de fantassins et d'un valet, elle déambula ainsi au sein des rues pleines d'activité, ombrelle dans une main, éventail dans l'autre et un délicat voile argentée sur son faciès afin d'éviter que d'éventuels "sommités" ne la reconnaisse et ne vienne l'importuner dans sa ballade autant ludique qu'utile. Oh certes, l'on voyait très bien qu'il s'agissait d'une grande Dame, cependant seules les armoiries des égides de son escorte dévoilait de réelles informations et encore, celles ci arboraient l'emblème du Duché de Lawdyn mais pouvaient le cas échéant être affilié à presque toutes les entités qui le composaient pour peu que sa Grâce le Duc ai décidé de dépêcher ces gens. En somme, un début de piste, mais pas non plus une voie royale. Quoi qu'il en soit, ces considérations n'avaient que peu d'importance si ce n'est aucune aux yeux de la Dame, les bonnes gens de son époux étaient aussi les siens quelque part après tout et ils accompliraient leur devoir, qui tenait en l'espèce autant du leurre que de l'escorte concrète.

Enfin, après quelques temps à visiter et contempler des étals d'intérêt tout en prenant note de la position de bon nombre d'entre eux pour le futur,  la Dame arriva enfin aux abords d'une des forges majeures du quartier. Contrairement à la croyance populaire qui au sein de certains milieu soutenait qu'elle évitait comme la peste ces lieux ci, la Dame savait en réalité apprécier toute forme d'art à sa juste valeur et cela incluait tout autant celle de "donner une forme" au métal. De fait, une arme superbement forgée était un présent des plus raffiné à dire vrai dans de nombreuses cours et les grands aristocrates adoraient pour beaucoup constituer des collections de lames. Son cher mari pour sa part était de ceux là à la différence qu'il affectionnait plus ces "nouvelles" inventions révolutionnaires qu'étaient les fusils, ou armes à poudre comme on aimait à les nommer. Peut être y avait-il ici quelque chose qui pourrait lui donner le sourire ? Qui plus est, en plus des ateliers, il apparaissait que la Forge disposait d'un terrain annexe assez conséquent permettant à la clientèle d'essayer les produits, et au vue de la taille dudit terrain, aussi très certainement de s'entrainer de façon efficace et encadré avec une possibilité d'alterner entre les équipements en fonction des nécessités. Habile pourrait-on-dire. Tandis que la Dame avait dépêché l'un de ses petits soldats afin d'aller inspecter les lieux pour constater ce qu'il y avait à la production et à la vente, cette dernière, se rapprocha du terrain d'entraînement par curiosité. De toute évidence, celui ci semblait occupé pour l'heure et laissait entrevoir un certains spectacle des plus intrigants qui fit arquer un sourcil à l'elfe.

Au sein de la gente féminine et plus encore dans les castes aristocratiques, l'ombrelle était un élément important, si ce n'est central de l'arsenal d'artifices et d'accessoires de chacune des dames désirant un tant sois peu se préserver. De fait, outil gracieux et délicat par excellence, il était l'égide de chacune contre les assauts répétés du soleil qui à travers ses rayons tombaient les uns après les autres sans discontinuer afin de tenter de causer quelques affront à la peau. En soit, pour quelqu'un comme la Dame disposant d'une peau quelques peu fragiles, ou tout du moins aussi délicate que son accessoire et dont elle servait préserver la blancheur immaculée, ce n'était pas peu dire qu'il était essentiel pour elle d'arborer une ombrelle. Cependant, dans son cas très précis il y avait une autre raison à dire vrai, qui relevait plus d'un savoir précis propre à la caste très fermée des duellistes qui appréciaient se servir comme d'une "arme" des... Outils atypiques dirait-on. Car en fin de compte ce n'était pas la puissance bête de l'acier ni même la force brute qui comptait à leurs yeux, mais bien la grâce du mouvement et la technique, deux points bien plus admirables en soit dans les affrontements du point de vue de l'elfe, et à dire vrai plus appréciables aussi, bien plus que les assauts crus vains et faisant montre d'une inaptitude flagrante à mettre en valeur ses atouts.

En somme, à mieux observer le déroulement du duel sur le terrain d'entraînement de la forge, qui voyait s'affronter selon toute vraisemblance un des membres de la garnison et... Un Thorkhan(Ce qu'on ne voyait pas non plus tous les jours pour des raisons assez évidentes en fin de compte), l'on pouvait aisément prendre note de la différence de style et surtout de... Motivation pourrait-on dire, chez les deux combattants. Ce n'était pas tous les jours après tout que l'on pouvait voir l'une des deux lames ne point répliquer,et surtout dans un duel amical où hormis récolter des bosses face à l'assaut du bois il n'y avait que peu de risques réels. Les mouvements du Thorkhan était ainsi précis, calculés à la limite de l'indécence même tant ils se jouaient dans l'ensemble de toute tentative du soldat de passer outre afin de toucher, à un tel point que cela en devenait humiliant pour cet homme que l'on devinait à sa façon de combattre qu'il avait tout de même de l'expérience. Mais pas assez visiblement, qu'il passe à gauche, tente un contournement à droite, feinte ou même s'essaye à passer en force, il ne rencontrait que le vide et l'indifférence de son adversaire qui persistait à éviter sa lame sans trop d'efforts à dire vrai, et pas même les encouragements des camarades du soldat ne firent quoi que ce soit pour renverser la donne.

Amusant. Et surtout intéressent c'était un spectacle assez rare voir même plus encore, unique en son genre. Bien évidemment, arriva ce qui devait arriver, le soldat finit par s'effondrer au sol, vidé pour ainsi dire de toute énergie après ses multiples échecs. Une expérience appréciable du point de vue des spectateurs pour qui savaient l'apprécier, car certes les comparses du membre de la garnison semblaient forts désappointés et l'escorte de l'Elfe relativement surprise au vue des murmures en émanant, mais la Dame elle même avait quand à elle savouré cette... "Démonstration". Lorsque le Thorkhan tourna son regard vers elle immédiatement après s'être désintéressé de son adversaire au sol comme s'il était guidé par une main invisible, l'Ar Volta esquissa un léger sourire derrière son voile transparent. Repliant son éventail et repositionnant dans le même temps son ombrelle, elle émit à l'attention du vainqueur quelques légers et courts applaudissements tout en faisant quelques pas en avant, s'approchant lentement du terrain.

"Une belle technique que vous avez là jeune homme. Précise, gracieuse et fuyante. Les compagnies de théâtres s'arracheraient assurément vos services, de même que les grandes aristocrates lors des bals qui rêveraient d'avoir un partenaire de danse avec de tel mouvements."

Bien évidemment, il fallait rendre à César ce qui était à César, s'étant bien appliquée à observer le déroulement de l'affrontement et le jugement était sans appel, ce n'était guère un duel au sens propre du terme simplement car le Thorkhan n'avait porté aucun coup ce qui soulevaient quelques questions, aussi de par ce fait il n'y avait qu'un seul terme adapté pour sa prestation. Une danse. Ni plus ni moins. D'aucun dirait que c'était là la tendance à émettre des critiques corrosives de la Dame qui refaisait surface, cette dernière considérait seulement cela comme être réaliste et émettre une observation concrète. Qui plus est, c'était d'autant plus nécessaire de procéder ainsi que l'inspiration commençait à venir pour ses prochains écrits, aussi était-il de rigueur dirait-on de chercher à en savoir plus sans enjoliver les faits de tel manière à pouvoir embellir au besoin des nécessités scénaristiques dans la fiction.

"Mais dites moi donc, n'avez vous donc guère de craintes qu'après avoir pour ainsi dire réduit à néant la crédibilité d'une des lames du Guet, cette dernière ne cherche à venger son honneur perdu ou tout du moins sa fierté dispersée aux quatre-vents ? Et qu'en-est-il de ses comparses, je vois déjà quelques mauvais regards au loin..."

Car oui, les lieux suintaient de la singulière odeur propre à l'amertume, et cela se voyait lorsque l'on s'attardait sur les regards de l'assistance qui l'on pouvait s'en douter ne considéraient pas ce qui s'était passé comme un véritable affrontement mais comme une vaste farce. Du moins c'était là la supposition de la Dame, après tous c'était dans la nature des bellicistes et de la piétaille leur étant affilié de ne raisonner que par les rapports de force et non pas par la raison et la technique. Dans la foulée, la Dame déplia son éventail, agitant lentement celui ci afin d'éloigner ces éventuelles mauvaises ondes rôdant non loin.

S'il est une vérité inhérente aux forces armées à travers tout le continent, qu'il s'agisse des fines lames des cours aristocratiques, de l'ost impérial posté aux frontières, des épées louées par les grands négociants ou même simplement des fantassins de garnisons comme il en existe ici et là, c'est que tous ou presque partagent un trait commun. Ni plus ni moins qu'une fierté digne des coqs régnants sur leurs basses-cours et bien trop souvent mal placée il fallait le dire, quand à savoir si cela venait des responsabilités ainsi que des pouvoirs inhérents à la fonction, la présence de l'arme où simplement les louanges des bonnes gens qui se satisfaisaient de se savoir protégés... Allez donc savoir. Dans tous les cas, force était de constater que ici aussi à Aelyria il y avait des stéréotypes ambulants qui toléraient mal d'être rabaissés. Ou alors était-ce ses homologues qui dans une tendance digne d'un esprit de ruche se voyait transmettre aux uns et aux autres en faisant parties le sentiment de honte et l'amertume de la défaite.

Assurément cela aurait été un véritable cas d'école que de réaliser une étude sur la psyché de ces hommes d'armes afin de déterminer les sources d'un tel raisonnement, mais quelques secondes simplement à observer les mines décomposés s'ériger sous un jour moins gracieux et amical qu'auparavant ainsi que les regards amplis de mépris était plus que suffisant pour rendre un jugement pragmatique commandant de ne point exciter plus encore tout ce beau monde. Tandis que la Dame se faisait cette réflexion, son représentant envoyé questionner le maître des lieux sur des sujets... Techniques dirons nous... S'en était revenu et murmura son compte rendue à l'attention de l'Elfe qui derrière son éventail afficha l'espace de quelques secondes une moue désappointé. Il faudrait revenir plus tard afin d'avoir satisfaction. Dommage.

La Ministre renversa cependant à nouveau son regard sur le Thorkhan en arquant cette fois ci un sourcil plus que de raison, et en affichant un air surpris copieusement distinguable en dépit autant de l'éventail que du voile qu'elle arborait. Malgré les précautions prises et alors même que l'Elfe avait fait en sortes de demeurer "Incognito" pour cette petite escapade en ville, il semblait de toute évidence qu'elle avait été percée à jour. Ce n'était pas non plus impossible loin de là, mais au vue des circonstances actuelle et qui plus est de la certitude que la Dame avait qu'il s'agissait d'une première rencontre entre sa personne et le Thorkhan, il y avait définitivement anguille sous roche. Un mystère en somme, mais qui avait grandement accru son intérêt en son fort intérieur. Cependant, on ne pouvait pas en dire autant de l'assistance, et alors même que les membres de l'escorte de Dame Ar Volta avaient immédiatement et instinctivement portés leur mains d'armes sur la poigne de leurs lames encore aux fourreaux, la réaction la plus intéressante vint des membres de la garnison.

De fait, le nom des Volta était tout sauf inconnu au sein des esprits à la différence que contrairement aux notables de la ville et aux autres célébrités locales, ledit nom était connu dans tout l'Empire et ce à raison. Premièrement car il s'agissait de celui de la famille Ducale de Lawdyn dont les riches et puissants fiefs faisaient la fierté de la Valkonie, l'on y associait notamment la capitale ducale "Port-Lawdyn" comme l'un des carrefours commerciaux majeurs du continent et assurément l'une des cités les plus prospères de ce dernier de par sa position stratégique. Mais aussi et surtout, car la Duchesse Consort en plus d'être une Varya de naissance et de disposer de toute l'influence et du prestige se rapportant à cette illustre dynastie, était connue ci et là comme étant une des Ministres au service du Trône ayant officié pas moins de trois fois aux affaires diplomatiques impériales. Ce tant et si bien que même si le commun de la plèbe n'avait bien souvent que faire quand à qui siégeait aux hautes instances du pouvoir, il en demeurait toutefois une partie non négligeable au fait de ce genre d'informations. Notamment pour ne citer qu'eux, les hommes des garnisons pour des raisons évidentes et en l'espèce, même si les fantassins de la garde de Vyléria n'avait pas eut l'occasion dans la grande majorité de rencontrer la Duchesse Consort de Lawdyn ou tout simplement de constater sa présence, tous savaient qu'elle était ici en ville pour des affaires propre à sa fonction.

Aussi, les soldats emplis d'animosités à l'égard du Thorkhan, s'ils ne réagirent pas immédiatement à l'évocation de l'identité de l'elfe, écarquillèrent alors grandement les yeux sous la surprise après quelques secondes et à mesure qu'ils détaillaient de haut en bas l'Elfe et surtout les armoiries de l'escorte, leur mine se décomposait de plus en plus. En réaction, la Dame leva les yeux vers le ciel en guise d'éloge funèbre à son anonymat relatif. Nonobstant il était impossible de revenir en arrière alors autant jouer le jeu, d'autant plus que l'intérêt de l'Elfe avait été éveillé car en fin de compte, le jeune homme avait fait un véritable coup de poker pour ainsi dire afin de se tirer de cette "mauvaise passe" si tant est que l'on puisse l'appeler ainsi. Et cela allait réussir, non pas grâce à la chance mais par une soif maladive d'inspiration qui risquait vraisemblablement de prendre fin sous peu sous réserve de débuter une ballade au sein de la ville en "bonne compagnie".

"Accordé." Dans le même temps qu'elle avait dit ça, la Dame avait fermée d'un geste sec son éventail et d'un geste de ce dernier avait fait signe à ses fines lames de ne point se brusquer. Selon toute vraisemblance l'individu n'avait, du moins à première vue, pas d'intention hostile, et semblait simplement vouloir trouver un échappatoire à un des aléas disgracieux de l'existence. "Sire Morrigan ? Pourriez vous avoir l'obligeance de remercier les braves veilleurs du Guet Urbain pour leur discrétion..." Point de question ici, le susnommé Sire Morrigan acquiesça et s'empressa de jeter aux pieds des gardes une bourse que l'on devinait contenir un montant raisonnable de monnaie.


"Bien, ceci fait, engageons nous dans cette ballade, et... Malheureusement non, je ne suis point familière avec les lieux. Mais puisqu'il s'agit de votre invitation, je vous en prie ouvrez donc le pas jeune homme." Faisant écho à ces mots, l'elfe réajusta son ombrelle d'un bras tout en étendant son second, éventail en main, afin d'inviter son interlocuteur à ouvrir la marche.

"Oh, mais j'en oublierais presque les convenances, l'Incipit et l'élément déclencheur sont déjà passés cependant je ne connais pas votre nom. Je me vois mal vous nommer par des descriptifs vagues et multiples durant toute cette... Promenade..."